L'Afrique est un marché consolidé de 1,2 milliard d'habitants et d'un PIB cumulé de plus de $3,5 trillions. Les multinationales les plus importantes au monde ne s'y sont pas trompées, et installent les infrastructures permettant les opérations de demain. 

Les technologies de l'information, L'agriculture, le transport, l'énergie et la santé, pour ne citer que ces secteurs ont un besoin transformatif colossal. Ces secteurs, à l'image de la téléphonie, seront soumis à une évolution par bon technologique (Leap frogging) ; c'est ainsi que le Kenya est le pays au monde ayant le taux de transactions mobiles le plus fort au monde. 

L'Afrique de l'Est est encore selon le dernier rapport de la Banque Africaine de Développement la région dont la croissance est la plus stable, oscillant autour des 6% depuis les dix dernières années, et une projection de 5,9% pour 2019. 

Les travaux de rapprochement économiques au niveau continental (CFTA) et régional (EAC, COMESA, IGAD) avancent et préfigurent une levée des barrières douanières et la création d'une monnaie unique ; ainsi les politiques fiscales, monétaires et du change sont en cours d'harmonisation. 

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Autant de signes positifs envers les nouveaux acteurs de cette économie neuve et dynamique.